Traditionnellement, les populations des villages pratiquent une agriculture vivrière afin de nourrir leurs familles et, lorsque la production est satisfaisante, de revendre une partie de la récolte sur les marchés locaux. Plus le maraîchage qui se pratique depuis plusieurs années dans la région, mais l’activité s’appuie sur des initiatives locales et demeure mal organisée et mal structurée. La production est faible et est loin de couvrir la demande des centres urbains proches de Sokodé et Kara, ou même plus lointain de Lomé. Pour les jeunes de la ville comme pour les commerçantes des marchés, c’est un complément financier non négligeable.
Invités :
- Tsingliou Yao de Radio Kara
- Pia Alassane, doyen des maraîchers
- Api Dassao Dabalou, maçon pendant la semaine, maraîcher pendant le week-end
- Ladji Nakpane, chauffeur routier et maraîcher
- Akou Faladéma, l’une des rares femmes pratiquant le maraîchage dans la zone.
Production : Sayouba Traoré
Réalisation : Ewa Moszynski