« La musique est très, très présente au Congo. Lorsque l’on dit artiste, les Congolais pensent que l’on ne parle que de musiciens. Ce projet a justement pour but de différencier le plasticien et le musicien, car nous, artistes plasticiens, nous ne sommes pas compris. Il est rare que l’on rencontre notre public et on ne peut pas leur dire qui on est vraiment. Je pense que c’est notre part de responsabilité de venir vers eux et de se montrer. Avec l’Eglise, avec la mauvaise information, nos œuvres et nos créations sont perçues comme des œuvres sataniques diaboliques. On veut donc mettre en confrontation les artistes et les personnes qui croient cela pour leur dire que tout cela est faux... »