«La réconciliation nationale à Madagascar est complexe et difficile»

Inefficacité, haute trahison, violation grave de la Constitution… A Madagascar, le chef de l'Etat est mis en accusation par les députés qui ont voté hier à une très large majorité sa destitution. Mais Hery Rajaonarimampianina se défend et déclare aujourd'hui qu'il est bien toujours en poste. Il accuse les députés d'avoir privilégié leurs intérêts personnels. Pour en parler, Anaclet Imbiki, ancien ministre de la Justice malgache. 

« La plupart des observateurs avertis et objectifs affirment que c’est plutôt en réaction aux résolutions de la conférence sur la réconciliation nationale, qui avaient demandé la dissolution de l’Assemblée nationale, que c’est en réaction à cette demande de les députés ont réclamé la tête du chef de l’Etat. »

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