Trotski/Kahlo, Gérard de Cortanze raconte «Les amants de Coyoacan»

Par sa mère, il descend de Fra Diavolo, le bandit napolitain qui lutta contre Bonaparte et finit pendu en 1806. Quant à la famille de son père, elle a combattu aux côtés de Garibaldi, l’artisan de l’unité italienne. Gérard de Cortanze était donc prédestiné pour naviguer dans les méandres de l’Histoire. Son imagination débordante est nourrie par la littérature, par ses ancêtres et par le souffle romanesque de sa plume, il nous a fait traverser les siècles à travers des personnages issus de l’Immigration italienne ou de l’errance du peuple juif. Mais, ce Piémontais d’origine est aussi un passionné de littérature hispanique, dont il a traduit et édité les plus grands auteurs. Il nous emmène aujourd’hui dans le Mexique de la fin des années 30. Car après « La Beauté Terrible » en 2011, Gérard de Cortanze nous transporte à nouveau dans l’univers de couleurs et de souffrance physique et amoureuse de Frida Kahlo. « Les Amants de Coyoacan » est publié par Albin Michel.Daniel Picouly est un amoureux de l’écriture, de l’école et des humanités. C'est un passionné d’Histoire avec un grand H. Il est d’ailleurs le président du Salon du Roman Historique de Levallois qui a lieu, cette année, le 8 mars. Avec la présence d’une centaine d’écrivains, auteurs de romans en résonance avec l’Histoire.

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