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« Symboliquement, [un échec aux élections législatives partielles] serait une énorme défaite pour le gouvernement parce qu'en fait, aux dernières élections législatives en 2014, soit quatre ans après le moment où il a eu sa majorité des deux tiers pour la première fois, Viktor Orban a perdu 10 % de ses voix et 10 % de son score électoral globalement. [...] La majorité des deux tiers était le symbole du maintien de sa toute puissance parlementaire. Dans ce cas-là, ce symbole tombe. », selon Paul Gradvohl, historien spécialiste de l'Europe centrale et directeur du Centre de civilisation française à l'université de Varsovie.