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« L'intérêt russe c'est évidemment d'éviter l'escalade des sanctions qui commencent à étouffer l'économie russe et par ailleurs de faire oublier, de faire ravaler aux partenaires occidentaux (...) l'incorporation de la Crimée qui ne figure absolument pas dans l'ordre du jour », commente André Filler, maître de conférences à l’université Paris 8 et à l’Institut français de géopolitique.