« Ce n'est pas surprenant pour moi que ce rapport mette l'accent sur une telle réalité en Centrafrique. Ce qu'ils ont vu a dû accentuer les déséquilibres mentaux, parce que c'est souvent des déséquilibres psychiques qui font qu'on se rappelle ce qui s'est passé, ce qu'on a fait, ce qu'on a vu... On en fait des cauchemars. C'est très lourd à gérer et à soigner. Parfois, c'est impossible... »