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A quelques semaines du référendum sur l’indépendance de l’Ecosse, les camps du « oui » et du « non » sont passés à la vitesse supérieure pour faire avancer leur cause. Mais la nervosité est désormais perceptible, car le nombre d’indécis reste significatif. Muriel Delcroix s’est rendue à Glasgow, la plus grande ville d’Ecosse, pour suivre la quête des pro et des anti-indépendantistes à la recherche des électeurs un peu perdus.