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Il s’agit plutôt de tentatives de certains entrepreneurs de valoriser cette filière, parce que traditionnellement on ne peut pas parler d’apiculture mais de cueillette de miel. Les communautés villageoises allaient en forêt à la recherche de colonie d’abeilles dans le creux des arbres. On coupe l’arbre qui abrite la colonie, et on brûle totalement la colonie pour récolter quelques litres de miel. Pratiques ancestrales qui entraînent des dégâts environnementaux. Depuis 1997, la SARL Apis Congo propose une autre approche basée sur l’utilisation des ruches Langstroph, permettant un rendement moyen d’environ 12 litres par récolte et par ruche.