« Il faut vraiment que nous, les Européens, les dirigeants européens, les élites européennes, nous soyons capables de parler d’Europe, pas seulement deux semaines pendant une campagne électorale tous les cinq ans, mais d’en parler constamment. D’expliquer ce qu’est l’Europe et ce qu’elle n’est pas, ce dont elle est responsable et ce sont elle n’est pas responsable. De dire que l’Europe ne nous est pas extérieure, que l’Europe c’est aussi nous. Il y a aussi, c’est vrai, une attente de résultats, un déficit de résultats en Europe et c’est très clairement ce que les électeurs ont sanctionné… »