1. La maladie du Noma

La maladie du «noma» est peu connue, mais son expansion dans certaines régions déshéritées en fait aujourd’hui un problème de santé publique.Cette gangrène foudroyante attaque, le plus souvent, des enfants entre 2 et 6 ans vivant dans des conditions sanitaires très précaires. Quand elle ne tue pas, laisse ses victimes atrocement défigurées. Pourtant, quand la maladie est détectée à temps, dix jours d’antibiotiques et des bains de bouches suffisent à éviter la destruction du visage. Comment reconnaitre les premiers symptômes ? Quelles politiques de prévention mettre en place ? Que peut la chirurgie reconstructrice pour les survivants ?

  • Pr Narcisse Zwetyenga, chef de service de chirurgie maxillo-faciale, chirurgie reconstructrice et chirurgie de la main au CHU de Dijon, et responsable de la prise en charge du Noma au sein de la Chaine de l’Espoir.
  •  Dr Christophe Bissa, interne des Hôpitaux de Lomé, assistant chef de clinique de Chirurgie Maxillo-faciale et Stomatologie à la Faculté des sciences de la santé de l'Université de Lomé, détaché au service de Chirurgie Cervico-Maxillo-Faciale du CHU Sylvanus Olympio de Lomé.

Plus d'informations et de contacts sur les sites de la Fédération Nonoma : www.nonoma.org, et le l'association Winds of Hope, www.windsofhope.org.

En fin d’émission, nous parlerons du prix du vaccin de la fièvre jaune avec le Pr Olivier Bouchaud, responsable du service des maladies infectieuses et tropicales Chu Avicenne.

 

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