Trois ans après le tsunami et le séisme qui ont ravagé la province japonaise de Fukushima, le 11 mars 2011, plus de personnes sont mortes victimes de stress et de complications de santé que du désastre lui-même, selon les autorités locales. D’après des chiffres officiels et de la police, 1.656 personnes sont décédées depuis lors, alors que la catastrophe proprement dite avait fait 1.607 victimes. La préfecture de Fukushima a été l’une des plus touchées du nord-est du Japon frappé par le séisme sous-marin d’intensité 9 et le tsunami géant. Au total, plus de 18.000 personnes sont mortes.
Pour en savoir davantage sur nos invités:
→ un article sur l'ouvrage de Sezin Topçu, « La France Nucléaire, l'art de gouverner une technologie contestée» (aux éditions du Seuil) sur le site du monde.fr