Gwendoline Viatour, experte en biodiversité au WWF.

Le Parlement européen débat actuellement des moyens pour renforcer la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages. Derrière cette expression se cache la lutte contre le braconnage et les trafics tels que l’ivoire, la corne de rhinocéros ou la peau de tigre.

En la matière, l’Union européenne représente pour les trafiquants un marché évalué entre 18 et 26 milliards d’euros par an.

Mais cette criminalité est particulièrement difficile pour les pays d’Afrique et d’Asie où se déroule ce braconnage. Les Etats concernés n’ont pas toujours les moyens de lutter contre ce trafic avec des conséquences écologiques et sociales très lourdes.

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