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Au Liban, les écoles publiques ont fait leur rentrée lundi dernier. Elles accueillent un nombre croissant d'élèves syriens. Ils étaient 30 000 l'année dernière, ils seront plus du double cette année. À cause de ses faiblesses, l'école publique est boudée par les Libanais : seules les familles les plus modestes y scolarisent leurs enfants. Elles représentent la seule option pour la plupart des réfugiés syriens. Leur accueil est un défi pour des écoles souvent démunies. Reportage, à Nabaa, une banlieue pauvre de l'est de Beyrouth, où l'école publique scolarise des élèves de 5 à 15 ans.