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L’opération Serval a mis un coup de pied dans la fourmilière. Des milliers de jihadistes se sont fondus dans la nature. En Guinée-Bissau, des cellules embryonnaires de salafistes et de chiites font leur apparition. Dans un pays où l’Islam ne concerne que 40 % de la population, la montée de courants venus d’ailleurs est un signe de préoccupation pour les autorités. Mais qui anime ou finance ces cellules ?