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A Mogadiscio, capitale d'un Etat somalien dont il ne reste plus grand chose, il y a trois manières de circuler : en véhicules blindés pour les forces de l’Union africaine ou les officiels somaliens, en véhicule privé souvent avec vitres fumées et, pour la grande majorité, en bus, seuls véhicules de transport public. Mais il y a quand même un léger mieux. La guerre ne fait plus partie du quotidien. La seule menace reste les attentats. Alors, premier signe d'une timide renaissance économique, un groupe d’hommes d’affaire a lancé une compagnie de taxis.