François Misser, journaliste, auteur de «La saga d'Inga. L'histoire des barrages du fleuve Congo», éditions L'Harmattan

«Je suis absolument persuadé que ce projet va se faire, parce que l'Afrique et le Congo (RDC) en ont besoin. Et surtout, d'après les études faites par le consultant canadien, l'énergie d'Inga 3 serait la moins chère du monde. Ca emmène un surcroit de compétitivité pour le Congo et l'Afrique du Sud, son principal client. Grand Inga, dont la capacité est estimée autour de  40 000 mégawatts, apporterait une solution à l'Afrique toute entière».

Le «Grand Inga» sera-t-il un jour une réalité ? Ce projet pourrait en théorie fournir la moitié de l'électricité dont le continent africain a besoin en domestiquant les eaux du fleuve Congo, qui offre le plus grand potentiel hydroélectrique du monde. La première phase de ce projet a été lancée le mois dernier à Paris lors d'une réunion avec le gouvernement congolais et des bailleurs de fonds. Il s'agit de construire un troisième barrage Inga sur le fleuve... [qui s'ajouterait aux deux existants, construits dans les années 70 et 80].

Pour en parler, Anthony Lattier reçoit le journaliste François Misser, auteur de La saga d'Inga. L'histoire des barrages du fleuve Congo aux éditions L'Harmattan.
 

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