En plus de ces réalités physiques, il y a quelques contraintes qui empêchent de valoriser les ressources naturelles. Il s’agit de l’exploitation abusive et incontrôlée des ressources, des techniques néfastes de récolte et de l’assèchement du climat, la salinisation des terres et de l’eau, les feux de brousse, la cueillette précoces des fruits, les conflits et les pratiques néfastes de pêche, la raréfaction des ressources halieutiques, l’absence d’organisation des acteurs.
Pour atténuer les effets néfastes exercés par ces contraintes, différents partenaires sont intervenus à Dassilamé Socé pour le projet Bas-fonds ou PBF. Le Japon pour le financement, le Projet d’appui à la Petite Irrigation Locale ou PAPIL, le programme Alimentaire Mondial, l’Agence nationale du conseil agricole et rural ou ANCAR, et la direction régionale du développement rural ou DRDR de Fatick.
Invités :
- Mamadou Lamine Konté, chargé du développement rural du sous-bureau du PAM à Kaolack
- Anta Saar, animatrice du Projet d’appui à la Petite Irrigation Locale ou PAPIL
- Abdoulaye Sy, chef du service technique de la direction de zone du bassin arachidier sud, à l’Agence nationale du conseil agricole et rural.
- Moussa Seydi, notable de Dassilamé Socé
- Boubacar Senghor, président de la commission production du comité villageois de gestion et de maintenance des ouvrages du bas-fond.
- Saly Senghor, présidente du groupement des femmes de Dassilamé Socé.
- Fatou Senghor, trésorière du groupement des producteurs du village.