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C’était il y a deux ans presque jour pour jour. Le 20 février 2011, des dizaines de milliers de Marocains descendaient dans les rues et réclamaient du changement : fin de la corruption, justice sociale... Deux ans après, le mouvement de contestation continue de réclamer de profondes réformes politiques au Maroc mais après une série de réformes et de répression il a du mal à se faire entendre. Samir Bradley est l’un des militants de la première heure. Ce jeune graphiste de 35 ans est de toutes les manifestations et ce même après un séjour en prison.