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A la veille des vendanges de 2012, un riche industriel chinois a acheté le premier cru classé dans le Bordelais. Cette grande région viticole compte déjà une trentaine de propriétés passées sous le pavillon chinois. La Bourgogne n'échappe pas à cet engouement. La vente du château Gevrey-Chambertin, durant l'été 2012, a suscité un grand émoi. Cet investissement chinois, est-il un phénomène de mode ou un placement à long terme ? La viticulture en France a-t-elle quelque chose à y gagner ?