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Le problème, c’est que le processus de dégradation de l’environnement n’est pas perceptible à l’échelle d’une vie humaine. Autrement dit, le villageois ne voit pas la chose venir. De plus, focalisé sur son terroir, l’agriculteur n’a pas une vision globale de l’environnement. Il faut donc une intervention extérieure pour espérer arrêter les dégâts. Au Burkina Faso, cette tâche revient au ministère de l’Environnement et du développement durable, à travers ses démembrements au niveau des 13 régions et des 45 provinces. Ce travail se fait en combinant différentes techniques.