La Francophonie n'est-elle pas en train de négliger son ADN, à savoir la langue française elle-même ? C'est la question que pose le diplomate congolais Henri Lopes, au lendemain de la décision du Gabon d'introduire l'anglais comme langue de travail.
Réponse aujourd'hui du n°2 de l'Organisation internationale de la Francophonie, le Canadien Clément Duhaime. Quelques jours avant le sommet de Kinshasa, l'administrateur de l'OIF répond aux questions de Christophe Boisbouvier.