Saleh Kebzabo, vous êtes le chef de l'opposition au Tchad, porte-parole adjoint de la principale coalition des partis d'opposition du pays, la CPDC; vous êtes aussi le président de l'UNDR, principal parti d'opposition représenté à l'Assemblée. Pour rappel, seuls 32 opposants sur 188 députés siègent à l'Assemblée tchadienne. Alors, vous êtes favorable à un dialogue avec le parti au pouvoir. Il faut renouveler l'accord du 13 août 2007, accord technique issu d'un dialogue entre majorité et opposition. Mais ce nouveau dialogue peine à s'instaurer. Pourquoi ?