Bahreïn : les villages chiites sous tension

Il y a an, le 1er juin 2011, le roi de Bahreïn levait l'état d'urgence. La contestation du printemps 2011 a été durement réprimée par les troupes du Conseil de coopération du Golfe. Un an après, le gouvernement assure que le dialogue est ouvert. Mais, la plupart des chefs de partis de l'opposition sont en prison, le parti chiite Al Wefaq est dépassé par sa base, et il assure qu'aucune négociation ou discussion n'est engagée. Les manifestations continuent, chaque jour ou presque, la population des villages chiites défile pour demander le départ du roi et du Premier ministre.

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