« Consensus » et « réconciliation » : ce sont les deux mots clés prononcés dimanche à Tunis par le fondateur d'Ennahda, Rached Ghannouchi, à l'occasion du 31e anniversaire de la naissance du mouvement islamiste en Tunisie.
Mais le parti Ennahda a-t-il vraiment renoncé à introduire la charia dans la future Constitution ?
L'essayiste franco-tunisien Samy Ghorbal publie «Orphelins de Bourguiba et héritiers du Prophète», chez Cérès éditions.
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