La moitié des avortements pratiqués dans le monde le sont dans des conditions non médicalisées, avec des risques pour la santé des femmes. Ces avortements clandestins ont principalement lieu dans les pays en développement et les complications représentaient environ 13% de la totalité des décès maternels en 2008. C’est ce qu’il ressort de la dernière étude publiée hier par le Guttmacher Institute et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Pour en parler :
- Dr Danièle Gaudry, gynécologue-obstétricienne à Paris. Membre du bureau confédéral et responsable de la commission avortement du Plannig Familial.
- Dominique Audouze, coordinatrice des actions internationales du Planning Familial.
- Nathalie Nkoume, coordinatrice locale du Planning Familial au Cameroun.
Pour aller plus loin :
Fédération internationale pour le planning familial pour l'Afrique : Ici