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La question est difficile à trancher, le point de vue sanitaire se heurte au point de vue sécuritaire. Une chose est sûre, le trafic profite de la misère sociale. L'échec dans la lutte contre l'insécurité frappe les populations les plus vulnérables, celles que la dureté de la compétition économique laisse sur le carreau. Et les jeunes consommateurs et dealers qu'en pensent-ils ? Laurence Théault est allée à leur rencontre dans « un quartier chaud » du 18ème arrondissement de Paris, près de la porte de Clignancourt.