Hassoumi Massaoudou, secrétaire général adjoint du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS), sur la situation politique au Niger

« Nous n'avons aucune raison de ne pas croire à ces promesses. Nous avons accueilli ce coup d'Etat avec beaucoup de soulagement et nous soutenons sans équivoque l'action des forces armées nigériennes ».

La junte nigérienne a multiplié les promesses depuis le renversement de Mamadou Tandja jeudi dernier. Ne pas rester au pouvoir, organiser des élections le plus tôt possible, mettre en place un dialogue inter-nigérien. L'opposition a-t-elle confiance dans ce nouveau pouvoir militaire ? Comment envisage-t-elle la transition ? Quel sort doit-être réservé au président déchu ? L'opinion de Hassoumi Massaoudou, secrétaire général adjoint du PNDS, le Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme.

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