« C'est le premier rendez-vous incontournable de cet été pour les amateurs d’art contemporain », avance le commissaire de l'exposition. L’espoir fait vivre. Les visiteurs attendent un fil d’espoir artistique de 1960 à nos jours en quatre actes : « La Genèse », « L’Exode », L’Apocalypse », « La Grâce ».
Bernard Frize taille l’espoir en plusieurs tranches colorées, Mona Hatoum se sert d’un tube néon pour allumer son « Hot Spot », Pierre et Gilles déguisent le paradis en « Adam et Eve » et pour la toile d’Yan Pei-Ming, c’est « Obama » qui incarne le principe HOPE.
Les cinquante artistes déclinent leur vision en photographies, sculptures, peintures, vidéos ou installations spectaculaires. Le visiteur garde le ferme espoir qu’il réussira à en tirer profit dans ces temps de crise économique, de désespoir, crainte et inquiétude. Hope, jusqu'au 12 septembre au Palais des arts et du festival de Dinard.