Récemment, WhatsApp a porté plainte contre la NSO, l'entreprise qui a concu le logiciel, l'accusant d'avoir infecté les téléphones portables membres de la société civile à travers le monde.
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Parmi eux, des Rwandais. Le Financial Times avait ensuite donné la parole à des membres de partis d'opposition rwandais en exil non reconnus par le gouvernement qui accusaient le Rwanda d'utiliser le logiciel contre eux.
Des informations que Paul Kagame a contesté hier lors d'une conférence de presse à Kigali.