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En RDC, le ministre des Droits humains, Marie-Ange Mushobekwa, assure que son pays ne s’oppose pas à une enquête conjointe des Nations unies sur les violences dans le Kasaï. Mardi dernier, à l’ouverture de la 35e session du Conseil des droits de l’homme à Genève, en Suisse, le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme avait lancé un ultimatum à la RDC, lui donnant 48 heures pour accepter cette enquête sous peine de se voir imposer une enquête internationale.