Le communiqué parle de « comportement violent et inacceptable dans un Etat de droit ». Il indique que « le chef de l'Etat a personnellement instruit l'administrateur général des services de renseignement de déterminer d'urgence les circonstances de ces actes d'un autre âge afin que les auteurs soient poursuivis et châtiés conformément à la loi. »
Le 2 août, Esdras Ndikumana correspondant de RFI et de l'AFP, a été sauvagement tabassé par des membres de la police politique burundaise, alors qu'il effectuait son travail sur les lieux de l'assassinat d'un général proche du chef de l'Etat.