Dans son discours d'ouverture, le ministre de la Communication, Lambert Mende Omalanga, a fait état de la triste réalité sur le terrain concernant le domaine des médias. Les moutons noirs, donc des pseudos journalistes, ont investi le secteur. La profession a ainsi perdu de sa superbe. A la base de cette situation : des entreprises de presse non viables et qui opèrent sans respect des règles.
Même constat pour l'abbé Jean Bosco Bahala, le président du Conseil supérieur de l'audiovisuel et de la communication. La mission d'enquête ou de contrôle dépêchée dans les provinces et dans la capitale a abouti à des résultats décevants. Chacune de la multitude des chaînes de télévision et des radios, ainsi que les entreprises de la presse écrite, recevront individuellement un courrier communiquant leur situation. Quarante-cinq jours seront alors impartis à toutes ces entités pour se mettre en règle. A défaut, il faudra cesser les activités. La corporation devra s'y pencher.
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