Au Sénégal d’abord. Sur la présidentielle de 2017, Abdoulaye Wade prédit une victoire de son fils à partir d’un principe simple, qu’il a lui-même expérimenté : le chemin du pouvoir passe la prison.
Dans les pays africains où la constitution empêche le président de se représenter (Burkina Faso, Burundi, Congo Brazzaville, RD Congo, Rwanda, etc.), Abdoulaye Wade fait un autre pronostic. Il parie qu’à l’avenir aucun chef d’Etat africain n’acceptera de quitter le pouvoir de bon gré. Et il n’hésite pas à affirmer que c’est la faute de Macky Sall.