« Je n’appelle pas ça du folklore. On fait du travail sérieux. Lui est absent de tout cela. C’est sa responsabilité. C’est son choix. Nous, nous ne commandons pas cela », explique Cheik Oumar Diarra, le ministre malien de la réconciliation rebondissant sur les propos tenus sur RFI du chef du MNLA.
Et il ajoute : « Nous, nous sommes en train de travailler avec les acteurs de la société civile, avec les mouvements armés, ceux qui sont présents, pour faire en sorte que nous puissions démarrer les pourparlers inclusifs dans les meilleurs délais. Demain, nous sommes prêts à discuter. Nous attendons que de notre côté, il y ait un engagement à s’inscrire dans une dynamique irréversible de discussions ».
Des discussions qui doivent avoir lieu au Mali pour le ministre : « Vous savez en 91-92, nous avons fait des rencontres à Ségou, à Mopti, etc. Donc sur toute l’étendue du territoire, nous pouvons organiser des discussions ».