A côté de cette première interception, d'autres bateaux seraient actuellement traqués par les autorités malgaches dans leur lutte contre le trafic de bois rose. Cette nouvelle ravit la société civile de la Grande Ile, qui réclame depuis longtemps des actions concrètes.
Mais pour Andry Andriamanga, coordonnateur de l'Alliance Voahary Gasy, une plateforme d'ONG environnementales très engagée dans ce domaine, ce n'est qu'un début. Selon lui, pour véritablement endiguer le trafic, il faut absolument que l'Etat applique les sanctions prévues par la loi :