Publié le :
Le dialogue entamé en août dernier entre le gouvernement djiboutien et l'Union pour le salut national (USN) est au point mort et pour cause, les autorités qui s'étaient engagées à cesser de réprimer et harceler les opposants continuent de les emprisonner. Il y a huit jours, un meeting a été interdit dans le quartier populaire de Balbal. Plusieurs députés ont été arrêtés ainsi que le porte-parole de l'USN, Daher Ahmed Farah. Pourquoi ce revirement des autorités ? Explication du président de l'USN, Ahmed Youssouf.