L'Algérien Abou Zeid était l'un des chefs les plus radicaux d'Aqmi. Il avait mené de nombreuses attaques et prises d'otages dans la région, avant d'être tué dans le nord du Mali lors d'une intervention militaire franco-africaine.
Début mars 2013, le président tchadien Idriss Déby avait annoncé qu'il avait été tué par les forces tchadiennes au cours d'une offensive menée fin février contre les jihadistes repliés au nord-est du Mali. Une annonce confirmée trois semaines plus tard par l'Elysée.