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Tout en saluant les efforts d'ouverture déjà réalisés, Reporters sans frontières assure que la liberté de la presse au Gabon « doit être largement améliorée ». L'ONG demande que le Gabon « favorise tant l'exercice quotidien du journalisme que le cadre légal de la liberté de l'information, en abrogeant et remplaçant le code de la communication de 2001 » qui institue notamment le délit de presse. Au terme d'une visite de trois jours à Libreville, Christophe Deloire, le secrétaire général de l'organisation, relève ces quelques points noirs.