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En Centrafrique, la rébellion de la Seleka clarifie sa position suite à l'annonce d'un gouvernement d'union nationale ce dimanche 3 février. Elle ne claque pas la porte du processus de paix de Libreville, mais demande des « aménagements techniques » dans l'équipe présentée par le président Bozizé. En attendant de tels aménagements, dit-elle, ceux qui ont été désignés pour être ses ministres ne prendront pas leur fonction.