Ardiouma Soma, le directeur artistique du festival, précise l'un des objectifs de ce festival si particulier : « Si vous voulez faire le point sur l’Afrique, les problèmes de l’Afrique, les bonheurs de l’Afrique, comment l’Afrique évolue, moi je pense que le seul lieu où vous pouvez voir tout ça en image, c’est au FESPACO ».
Pour cette 23e édition, cent un films sont en compétition. Le Gabon, invité d’honneur cette année, compte ainsi cinq films au programme. Ce qui ne laisse pas indifférent Blaise Louembe, ministre gabonais de l’Economie numérique. Selon lui, le Gabon doit en effet davantage s'engager dans ce secteur culturel : « Pour avoir été choisis, nous allons encourager, dans le monde du cinéma, tous les corps de métier pour qu’à partir de maintenant nous puissions dégager une production cinématographique de qualité et être présents dans tous les différents festivals. »
Après Libreville, les organisateurs du Festival se rendront à Bruxelles, puis à Paris pour inviter plus de monde à venir encourager le cinéma africain.
Sur Twitter, le festival commence à faire du bruit :