A l'heure qu'il est, le gouvernement burundais n'a pas réagi à ces propositions de l'opposition.
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Les violences attribuées aux bandits armés par le gouvernement burundais et à une nouvelle rébellion par l'opinion, se sont multipliées depuis des mois. Lundi 30 mai 2011, l'opposition burundaise, regroupée au sein de l'Alliance démocratique pour le changement, a appelé, au cours d'une conférence de presse, le pouvoir à ouvrir des « négociations directes » avec elle, pour éviter que la multiplication de ces accrochages armés ne provoque « le chaos et l'anarchie ».
A l'heure qu'il est, le gouvernement burundais n'a pas réagi à ces propositions de l'opposition.