En campagne de sensibilisation dans les différentes garnisons militaires de la capitale, le colonel Nouhou Thiam a averti ses administrés : personne, encore moins les soldats, ne peut se prévaloir désormais d’une quelconque protection de la hiérarchie surtout quand il s’agit de ceux qui ont commis des crimes.
Plusieurs militaires guinéens sont visés par une Commission d’enquête des Nations unies après le massacre d’au moins 150 personnes lors d’une manifestation pacifique le 28 septembre 20009 dans un stade de Conakry.