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On l’appelle «balanzan» en bambara, «zaanga» en mooré, «kadd» en wolof, «isas» en sérère, «itaski» en poulare, «bubirik» en diola, «gao» en zerma et haoussa, «bu lantuabu» en gulmancema, «korâgkonto en malinké» : l’acacia albida, peut-être le plus connu des «arbres utiles» du Sahel, existe pratiquement dans toute l'Afrique. Explications de Edwige Botoni, expert en gestion des ressources naturelles au Comité inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel et de Mathieu Ouédraogo, vulgarisateur et agro-formateur.